Le 18 novembre dernier, la Criet (Cour de Répression des Infractions Économiques et de Terrorisme) a jugé sept personnes accusées d’être impliquées dans un réseau de faux documents. Parmi les prévenus, figurentdeux femmes, toutes soupçonnées d’avoir participé à un système frauduleux de fabrication et de distribution de faux permis de conduire, cartes grises, et documents de douanes.
L’affaire a éclaté après l’interpellation d’une victime lors de la visite technique de son véhicule. Ce dernier, qui avait été frauduleusement dédouané, a permis aux autorités de démanteler une partie du réseau. Les faux documents étaient utilisés pour légaliser des véhicules importés, contournant ainsi les formalités douanières etformalités douanières et administratives.Lors de l’audience, tous les prévenus ont plaidé non coupables.
Ils sont poursuivis pour fausse attestation et complicité d’abus de fonction, et risquent des peines sévères si leur culpabilité est prouvée. Le tribunal a décidé de renvoyer l’affaire au 16 décembre 2024 pour la suite du procès.Les autorités poursuivent leur enquête pour identifier d’autres membres du réseau et déterminer l’étendue exacte des fraudes commises.
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