Le président Soglo devrait peut-être réévaluer ses priorités et reconnaître les efforts du président Talon, qui continue de bâtir une belle œuvre, un « miracle béninois », tel que le fait remarquer d’ailleurs son dernier ouvrage. Lors de son interview sur RFI, l’ancien président Nicéphore Soglo a lancé un appel à la libération de tous les prisonniers politiques et au retour des exilés.
Lors de cet entretien avec Christophe Boisbouvier, le président Soglo n’a pas mâché ses mots : « Cette année au Bénin, on doit libérer tous les prisonniers politiques sans exception », a-t-il affirmé avec insistance. Il a également interpellé le président Patrice Talon, en lui demandant de libérer des figures de l’opposition comme Reckya Madougou et Joël Aïvo, tout en citant son propre fils, Lehady, en exil. « Ça va durer combien de temps ? », a-t-il ajouté, mettant en lumière ce qu’il considère comme des injustices politiques.
Alors que le Bénin est en pleine transformation, avec une politique de développement économique et de réformes politiques ambitieuses sous la direction de Talon, les appels de Soglo à la libération généralisée des prisonniers et au retour des exilés semblent être plus une tentative « maladroite »de manipulation politique, qu’une véritable volonté de réconciliation nationale. Au lieu de nourrir un dialogue constructif, ces déclarations risquent de raviver les tensions et de détourner l’attention des progrès accomplis. En tout cas, il est indéniable aujourd’hui que
sous la direction de Patrice Talon, le Benin poursuit son chemin vers un avenir plus stable et prospère. Il est donc peut-être temps pour l’opposition de soutenir les efforts du gouvernement actuel et de contribuer à l’unité du pays, plutôt que de s’engager dans des stratégies qui menacent la paix sociale et politique.
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