Le 30 septembre 2024, neuf personnes impliquées dans les émeutes de 2019 ont été libérées, bénéficiant d’un non-lieu partiel dans le cadre de l’affaire « Général Faleti ». Ces individus avaient été arrêtés après des violences qui avaient éclaté lors des élections, marquées par des barricades sur les voies inter-États et des échanges de tirs avec les forces de l’ordre.
Au total, onze personnes, dont deux femmes, avaient été inculpées pour des accusations graves, notamment de terrorisme, de vente illégale d’armes à feu et de munitions, ainsi que pour complicité d’actes de terrorisme. Bien que ces neuf individus aient recouvré la liberté après quatre ans de détention, le Général Faleti et un coaccusé restent derrière les barreaux. Cette décision a été prononcée par la commission d’instruction de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).
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